lundi 3 juin 2013
Direct lutte Balla Gaye 2 après sa victoire sur Tapha Tine: "J'ai grandi, je n'ai plus besoin de me défouler
Balla Gaye 2 n’a jamais douté de sa victoire contre Tapha Tine. Il a fait montre d’une technicité sans faille. Après avoir dérouté le géant du Baol, le Lion de Guédiawaye a confessé : «J’ai grandi maintenant !» Balla Gaye 2 de souligner : «tout ce que je fais, je le fais avec calme et la pondération maintenant. Je n’ai plus besoin de me défouler».
jeudi 16 mai 2013
GASTON MBENGUE: «Les supporteurs de Mbour sont des terroristes sportifs»
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| GASTON |
GASTON MBENGUE:
«Les supporteurs de Mbour sont des terroristes sportifs»
Gaston Mbengue, Président du Ndiambour de Louga, n’a pas encore digéré la chaude soirée qu’il a vécue à Mbour, le samedi passé, suite aux échauffourées ayant opposé son équipe au Stade de Mbour. Très remonté contre les supporteurs de l’équipe de la Petite Côte, Gaston Mbengue a vidé son sac : «C’est clair, les supporteurs étaient venus pour nous tuer. Ce sont des sauvages (sic). La fédération doit sévir.» Va-t-en-guerre, le promoteur de lutte, muscles bandés, fusille encore : «Ces gens ne connaissent que les injures. J’ai vécu des années à Mbour, je connais parfaitement leurs mentalités. Ils passent tout leur temps à injurier.» Sans décolérer contre ceux qu’il considère comme «de terroristes sportifs», il attaque de nouveau : «Mbour est très différent de Louga. Dans notre ville, on ne connaît pas la violence. Nous dénonçons ces actes barbares. Seulement, nous avons compris la réaction des supporteurs et des membres de l’encadrement qui soutiennent qu’ils ont rendu à Louga la monnaie de sa pièce, car ils pensaient qu’ils allaient nous battre facilement. De toute façon, Ndiambour ira en Ligue 1, ils peuvent faire tout ce qu’ils veulent, mais personne ne peut arrêter la mer avec ses bras.» QUANT PANSES VOUS DE CE GASTON AU GRAND GEULE
http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=318825942853908960#editor/target=post;postID=5748886263187011540
VIOLENCE DANS LES STADES
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| MATCH STADE DE MBOUR / NDIAMBOUR DE LOUGA |
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| MATCH TOURE COUNDA / GOREE |
Issa Thioro Guèye, Président du Mouvement sportif «Initiative ZERO VIOLENCE DANS LES STADES», Vice-président de Yakaar de Rufisque – Ligue 1 et Membre du Conseil d’Administration de la Ligue sénégalaise de Football Professionnel, lance la «Ligue Nationale contre la violence dans les stades » avec pour slogan «refusons la violence» et émet l'idée d'une "minute de fair-play" contre la violence avant le coup d'envoi de chaque mi-temps. Le lancement de la «Ligue Nationale contre la violence dans les stades » Nous déplorons ce qui ces passe lors de la 11eme JOURNEE STADE DE MBOUR VS NDAMBOUR DE LOUGA
La cérémonie à laquelle sont
conviés tous les acteurs du mouvement navétane, tous les présidents de clubs
amateurs et professionnels verra la participation de plusieurs hautes
personnalités, de journalistes, d’hommes de culture, de sportifs de tous bords,
de milliers de jeunes ainsi que des femmes qui vont lancer un message fort de
lutte contre la violence dans les stades. Il s'agit de la première étape d’une
campagne de sensibilisation visant à appuyer toutes les actions jusque-là
menées sur le terrain afin de lutter contre la violence dans les stades et en
dehors. Cette campagne se veut ainsi complémentaire de ce qui déjà a été fait,
aussi bien d'un point de vue opérationnel que juridique et administratif.
Il s'agit également de lancer
un message fort : « Refusons la violence ». Ce slogan, qui est la signature de
la campagne, a pour objet de marginaliser les supporters violents qui prennent
le football en otage, de cibler les comportements inadmissibles et de rappeler
qu'ils sont punis par la loi. Le stade n'est pas une zone de non droit.
Les fauteurs de trouble sont
une petite minorité dans les stades. Il était donc hors de question de
stigmatiser l'ensemble des spectateurs. Pour autant, la campagne s'adresse à
tous les publics : rappeler que certains comportements sont dangereux et qu'ils
sont passibles de poursuites pénales doit en susciter le rejet. Il s'agit enfin
de briser l'influence que des spectateurs violents peuvent avoir sur d'autres
spectateurs : s'il est ridicule d'être violent, il est encore plus ridicule de
copier les violents. Tel est aussi le sens du message.
mardi 7 mai 2013
M'bour est une ville de l'ouest du Sénégal, située sur la Petite-Côte, à environ 80 km au sud de Dakar et à 5 km de la station balnéaire de SALY
Administration[modifier]
La ville est le chef-lieu du département de M'bour, une subdivision de la région de Thiès.
Géographie[modifier]
Les localités les plus proches sont Saly Niakhniakhal, Saly-Portudal, Malikounda Sas, Falokh, Sintiou Mbadane, Nianing et Warang.
Physique géologique[modifier]
Population[modifier]
Lors des recensements de 1988 et 2002, la ville comptait respectivement 76 751 et 153 503 habitants.
En 2007, selon les estimations officielles, la population s'élèverait à 181 825 personnes.
Activités économique[modifier]
La ville s'est développée autour d'une mine de titane. Outre l'extraction minière, les principales activités sont la pêche et le tourisme
M'bour est le second port du Sénégal, après Dakar. Il exporte principalement vers les pays limitrophes et l'Union européenne.
C'est aussi un centre touristique important, apprécié pour ses plages de sable fin et la possibilité de pêcher au gros, ainsi que pour laRéserve écologique expérimentale de M'bour, un site protégé depuis 1987.
Culture[modifier]
Le Kankourang est une manifestation qui célèbre la circoncision au sein de la communauté mandingue de Mbour. La sortie du « Kankourang », personnage mythique recouvert d’écorces rouges d’un arbre appelé fara, parcourt les rues pour protéger les jeunes circoncis pendant leur initiation et fascine toujours les populations et les touristes. Le séjour dans le "bois sacré" des circoncis dure environ 1 mois et le Kankourang apparaît pendant 4 dimanches successifs (et presque toutes les nuits), de préférence pendant les grandes vacances, au mois de septembre.
Jumelages[modifier]
Depuis 1974, M'bour est jumelée avec la ville portuaire française de Concarneau.
Personnalités nées à M'bour[modifier]
- Youssou Diagne, homme politique et ancien président de l'Assemblée nationale du Sénégal
- Demba Diop, ancien maire de Mbour et ancien ministre de la jeunesse et des sports sous la présidence de Léopold Sédar Senghor, qui a donné son nom à un lycée de M'bour et au Stade Demba Diop de Dakar
- Caroline Faye Diop, épouse de Demba Diop, elle fut la première femme députée à l'assemblée nationale sénégalaise, elle sera ensuite ministre sous les présidences de Léopold Sédar Senghor et de Abdou Diouf
- Youssou Thiépenda Diop - Administrateur civil, ancien gouverneur de la région de Ziguinchor, et gouverneur adjoint au développement à Tambacounda.
- Ousmane Kane, avocat et ancien candidat indépendant à l'élection présidentielle sénégalaise de 2007
- Viviane N'Dour, chanteuse
- Tafsir Demba Sall, qui a donné son nom à une école de M'bour
- Serigne Abdoulaye Ndiaye communément appelé ABDOULAYE NDIAYE MARABOUT,chef religieux est né à Mbour le 1er janvier 1945 où il n'a quitté que pour sa formation spirituelle à Saloum Ce descendant direct de Ndiadiane Ndiaye est un des rares marabouts qui sont très effacés des foules sa maison située sur la rue communément appelée 30 mètres au quartier château d'eau est le lieu de retrouvaille de beaucoup de gens qui pour des maasalas qui pour des prières qui pour la dépense quotidienne qui simplement la sécurité spirituelle
- Assane Diop Ba, joueur au club de foot "Navétane" ODB dans sa jeunesse, puis au stade de M'bour. Il fut également entraîneur de troisième degré et dirigea plusieurs équipes de première division de football parmi lesquelles la SONACOS, l'ASC HLM, le Stade de Mbour, etc.
- Mbaye Mbengue, Président Convention des Jeunes de Mbour, Coordonnateur du Festival des Cultures de Mbour (FESCUM), Président Commission Tourisme de la Mairie de Mbour, Conseiller Municipal, Président de l'Association Actions Solidaires.
Articles connexes[modifier]
Bibliographie[modifier]
- (fr) Sadibou Dabo, Ethnicité et urbanisation : les Mandingues de Mbuur au XIXe-XXe siècle, Dakar, Université Cheikh Anta Diop, 1994, 102 p. (Mémoire de Maîtrise)
- (fr) Abdoulaye Mballo, L’évolution politique de la ville de Mbour de 1945 à 1967, Dakar, Université Cheikh Anta Diop, 1993, 101 p. (Mémoire de Maîtrise)
- (fr) C. Fall, « Environnement côtier et santé : le cas des villes de Dakar et Mbour », in Diaw, A. T., Thiam, M. D., Bouland, P., Diouf, P. S., Lake, L. A., Mbow, M. A., Ndiaye, P. et Thiam, M. D., Gestion des ressources côtières et littorales du Sénégal : Actes de l'Atelier de Gorée du 27-29 juillet 1992, 1993, p. 269-274
- (fr) Brigitte Rasoloniaina, Étude des représentations linguistiques des Sereer (Sénégal : Mbour, Nianing, Sandiara), Paris, L'Harmattan, 2000
- (fr) Birahim Seck, L'évaluation de la santé maternelle et périnatale à Mbour, Sénégal : une étude sociologique empirique, Lausanne, Sciences sociales et politiques, 2002
lundi 6 mai 2013
Un accident Sur la route de kaolock
Parmi les causes, il y a non seulement le mauvais temps mais aussi la vitesse",il n'était pas mort sur le coup mes sans compte par le temp qu'ils on prit pour venir les SAPPEURS POMPIERS c'était trop tard il ya de plus en plus des accident pareil sur cette route
http://momosoume.blogspot.com/2013/05/un-accident-sur-la-route-de-kaolock.html
Mariage précoce: 5 à 10 ans d’emprisonnement
Le mariage précoce n’est pas spécifiquement défini, mais l’article 300 du Code pénal sanctionne «quiconque aura accompli ou tenté d’accomplir l’acte sexuel sur la personne d’un enfant au dessous de 13 ans accomplis, lorsqu’il s’agit de la consommation d’un mariage célébré selon la coutume».
Les coupables sont punis par l’article 300 du Code pénal d’une peine d’emprisonnement de 2 à 5 ans. S’il en arésulté des blessures graves, une infirmité même temporaire ou la mort, le coupable sera puni d’un emprisonnement de 5 à 10 ans.
Le coupable pourra, en outre, être privé des droits mentionnés en l’article 34 du Code pénal pendant 5 ans au moins, et 10 ans au plus à compter du jour où il aura subi sa peine.
L’Article 34 du Code pénal: «les tribunaux jugeant correctionnellement pourront dans certains cas interdire, en tout ou partie, l’exercice des droits civiques, civils et de famille suivants : de vote, d’éligibilité, d’être appelé ou nommé aux fonctions de juré ou autres fonctions publiques, ou aux emplois de l’administration ou d’exercer ces fonctions ou emplois, du port de détention d’armes, de vote et de suffrage dans les délibérations de famille, d’être tuteur, subrogé- tuteur ou curateur, d’être expert ou témoin sauf pour donner en justice de simples renseignements».
Au cas où la peine d’emprisonnement encourue est supérieure à 5 ans, les tribunaux pourront, pour une durée de 10 ans de plus, interdire totalement ou partiellement l’exercice des droits énumérés ci-dessus.
C’est pourquoi les organisations comme CIJ/RADI, conseillent aux victimes, entre autres conduite à tenir, de : «Faire établir un certificat médical par un médecin», «Chercher des témoins» et «Dénoncer, informer, porter plainte à la police, à la gendarmerie ou au tribunal le plus proche».
Il faut aussi prendre contact avec les associations de défense des droits de la personne, de l’enfant ou luttant contre les violences
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jeudi 2 mai 2013
Dix jeunes formés aux techniques d’écriture Web et Blogging
Situé à 80 km au Sud de Dakar, Mbour et ses jeunes, nous (Réseau des blogueurs du Sénégal) ont accueilli avec une certaine chaleur humaine dans le cadre de la Formation en techniques d’écriture web, blogging, montage et publication de vidéo, d’image sur le net, etc. Au nombre de dix, tout en respectant la parité, c’est-à-dire cinq filles et cinq garçons, les organisateurs de la 3ème édition du Festival des Cultures de Mbour (Fescum) ont mis les bouchées doubles pour permettre au Réseau des blogueurs du Sénégal de partager leurs modestes connaissances dans le domaine des TIC. Désormais, Mbour peut compter sur ces pionniers en blogging, gestion des réseaux sociaux, montage et publication des vidéos pour véhiculer une autre image de la ville. En deux jours de formation, ces jeunes ont pu signer un mariage sans divorce avec les outils web sous la complicité du formateur web 2.0, blogueur Basile Niane et ses soldats du blogging et tout ce qui est web.
Dans un exercice de rétrospection des acquis, quelques jeunes formés n’ont pas hésités à extérioriser leurs sentiments. C’est dans cette logique, que la jeune Oumy Diané Ndiane s’est jeté à l’eau. « Lorsque, j’étais devant le petit écran et que j’écoutais Basile de la Rts1 (Chaîne de télévision nationale) dans l’émission KENKELIBA qui parlait de blogging, je croyais entendre un langage qui sortait de l’ord ( /festival-des-cultures-de-mbour-dix-jeunes-formes-aux-techniques-d-rsquo-ecriture-web-et-blogging_b_43.html )
inaire ( RAPPEL JUSTE UN TEST DE COMMENCEMENT MERCIE )
Dans un exercice de rétrospection des acquis, quelques jeunes formés n’ont pas hésités à extérioriser leurs sentiments. C’est dans cette logique, que la jeune Oumy Diané Ndiane s’est jeté à l’eau. « Lorsque, j’étais devant le petit écran et que j’écoutais Basile de la Rts1 (Chaîne de télévision nationale) dans l’émission KENKELIBA qui parlait de blogging, je croyais entendre un langage qui sortait de l’ord ( /festival-des-cultures-de-mbour-dix-jeunes-formes-aux-techniques-d-rsquo-ecriture-web-et-blogging_b_43.html )
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